Le directeur technique de Ripple défend Elon Musk contre les critiques de l’Associated Press concernant l’acquisition de Twitter

Le directeur de la technologie de Ripple, David Schwartz, qui a critiqué Elon Musk pour son intention d’acheter Twitter, a cette fois soutenu l’excentrique centimillionnaire alors que Musk était critiqué dans un article d’Associated Press (AP) sur l’acquisition de Twitter.

Musk s’en prend à ses adversaires sur Twitter

Dans un article publié par l’Associated Press, les auteurs ont déclaré qu’Elon Musk, bien qu’il dise vouloir acheter Twitter pour défendre la liberté d’expression, s’en prend en fait vertement à ceux qui ne sont pas d’accord avec lui, et il le fait sur la même plateforme de médias sociaux.

L’article mentionne que M. Musk s’en est pris à Martin Eberhard, cofondateur et ancien PDG de Tesla, sur Twitter, en affirmant que M. Musk était “avide d’attention et désireux de s’attribuer le mérite d’être un visionnaire”.

Elon l’a traité de “menteur” dans l’un de ses tweets après cela. Il a fait référence à la SEC en tant que “Commission d’enrichissement des vendeurs à découvert”, et d’autres cas similaires ont été mentionnés.

Le directeur technique de Ripple défend Elon Musk

Cependant, le directeur technique de Ripple, bien qu’il ait critiqué Musk précédemment au sujet de la future acquisition de Twitter, s’est rangé du côté du milliardaire cette fois-ci, affirmant qu’il ne s’agit pas d’une critique légitime d’Elon Musk, alors qu’il en existe beaucoup d’autres.

Schwartz a tweeté que le fait d’attaquer verbalement ceux qui ne sont pas d’accord avec vous n’est pas en contradiction avec la lutte pour préserver la liberté d’expression. Il a souligné que le fait d’attaquer ses détracteurs constitue une croyance en la liberté d’expression, et c’est exactement ce qu’il faut défendre ici.

Auparavant, Schwartz a affirmé que la véritable intention de Musk en acquérant Twitter était de créer de meilleures conditions pour le discours politique qu’il favorise et de pires conditions pour le discours politique qu’il ne soutient pas, ce qui semble assez similaire à la critique formulée dans l’article de l’AP mentionné ci-dessus.

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