Ozzy Osbourne est le dernier musicien en date à faire une incursion dans le secteur de la cryptographie avec le lancement de « Cryptobatz », une collection de 9 666 jetons non fongibles.
Le grand Ozz a mis beaucoup d’efforts dans cette collection étant donné qu’il l’a créée lui-même.
Osbourne a déclaré à Rolling Stone qu’il avait décidé de lancer ses propres NFT après que sa femme, Sharon Osbourne, l’ait dissuadé d’acheter un Bored Ape :
Cela fait un moment que j’essaie de participer à l’action NFT, alors quand j’ai demandé à Sharon un Bored Ape pour Noël, après plusieurs tentatives infructueuses d’acheter le mien, elle a dit non, alors j’ai décidé de créer le mien.
La livraison est accompagnée d’une nouveauté : les propriétaires pourront créer de nouveaux NFT appelés « MutantBatz » en « mutant » Cryptobatz avec d’autres collections.
En outre, Osbourne organisera une chasse au trésor pour les détenteurs de CryptoBatz.
L’un des moments les plus infâmes du rock and roll.
Osbourne est devenu célèbre en mordant la tête d’une vraie chauve-souris morte lors de son concert avec 5 000 fans en 1982 qui a eu lieu à Des Moines, Iowa. Dans ses mémoires, il a écrit que cette décapitation sanglante n’était pas intentionnelle : le musicien a pensé qu’un fan avait jeté une réplique sur la scène et a décidé d’y goûter sans arrière-pensée :
Immédiatement, cependant, quelque chose s’est senti mal. Très mal. Pour commencer, ma bouche a été instantanément remplie de ce liquide chaud et gluant, avec le pire arrière-goût que l’on puisse imaginer.
L’événement, bien sûr, reste l’un des moments les plus fous de l’histoire du rock-and-roll. Le « prince sombre du heavy metal » n’a pas honte de ses frasques. En 2019, il a capitalisé sur l’incident en sortant une grande chauve-souris en peluche avec une tête amovible.
Osbourne a déclaré à Rolling Stone que la morsure de chauve-souris était l’un des moments les plus « iconiques » sur scène :
Le design rend hommage à l’un de mes moments les plus emblématiques sur scène et représente une chance d’acquérir une pièce rare de l’histoire de l’art. Je l’adore !
